Le temps passe sur des vies bien trop lasses...
D'une naissance est arrivé sur cette planéte où rien n'est parfait, un petit brun de liberté, une chance d'éternité.
Puis le temps est passé, transportant sa chance et ses années, faisant grandir les rire et les fruits pret a murir, oubliant parfois les haines sans jamais ignorer la peine.
Le temps passe sur des vies bien trop lasses...
Le temps des printemps où ne glisse que le vent. Sur des visages trop pâle aux précieuses couleurs d'opale, c'est ici qu'en éternelle ronde, la mémoire gravera la réalité profonde, celle qui a fait d'elle la vérité, inévitable et pourtant réalité.
Le temps passe sur des vies bien trop lasses...
Une vie laissera traverser les cris. Récompenses ou reconnaissance, ne retenant que la bienséances. C'est ici que s'achévera la moquerie ne laissant place qu'a ceux qui rient.
Le temps passe sur des vies bien trop lasses...
Qu'en reste t il? Une mémoire au gout fragile. Pour oublier ceux qui sont passé, il faudrait s'y obligé car quoi de plus noble qu'une femme, traversé par les larmes et les âmes? C'est alors que d'un dernier effort, en oubliant les gouts améres dire une derniére fois, bonne fête grand mére...
"La nuit n'est jamais complète
Il y a toujours au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler
Faim à satisfaire
Un coeur généreux, une main tendue
Des yeux attentifs
Une vie à partager"